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Making moves, taking chances, and enjoying what life brings me along the way.

13.11.13

Harpers Ferry, une belle ville historique

Bonjour à tous,

Quoi de neuf sur l’autre côté de l’Atlantique? Ici, il commence à faire tellement froid que j'ai mis mon manteau d'hiver ce matin. Ils parlent même de la neige ce soir/demain matin. Vous imaginez ? La neige en novembre ? J’espère qu’ils se trompent.

Heureusement, j’ai eu la chance de faire quelques choses traditionnellement «automne» avant que le froid est arrivé.

Il y a deux weekends que je suis allée en Virginie-Occidentale avec mon ancienne colocataire, Andrea, qui va bientôt retourner à Bellingham,Washington. Elle nous a conduit à la ferme de pommes pour cueillir des pommes et une grande citrouille pour Halloween. Nous avons toutes les deux choisis quelques pommes «Staymans» et «Cameos». Les pommes «Gala» étaient déjà pourries et tombées par terre. En total, j’ai acheté au moins 8 pommes pour 5 dollars. Ma citrouille m’a couté 10 dollars. Malheureusement, elle n’a pas durée plus qu’une semaine après avoir été coupée en visage «Jack-o-Lantern». Nous avons pris quelques photos avec les épouvantails et puis nous sommes parties pour Harpers Ferry.

Pommes par terre


Nid d'oiseau
Citrouilles 


Harpers Ferry est située juste à côté de la confluence de la Potomac et de la Shenandoah. Là, les états de Maryland, Virginie, et Virginie-Occidentale se rejoignent aussi. Une sorte de « trois points d’un triangle » de l’Est, comme l’Ouest a ses « quatre coins » (Arizona, Colorado Nouveau-Mexique, et Utah).  

En 1783, quand Thomas Jefferson ( troisième président des États-Unis) est allé faire un tour de Virginie, il a fait une petite pause sur une grande roche. Dans «Notes on the State of Virginia»,  il a écrit que la vue de cette roche « mérite un voyage de l’autre côté de l’Atlantique. » J’avoue, la vue est magnifique. 

Harpers Ferry est connu pour son histoire pendant la guerre de Sécession et (dépendant de votre source) le héros/terroriste/fanatique/visionnaire, John Brown. Le 16 octobre 1859, Brown a fait une descente sur la ville avec 21 hommes (quelques entre eux étaient des esclaves). Il a espéré prendre les armes de l’arsenal de la ville pour commencer une grande révolte d’esclaves. Ils ont été arrêtés par les citoyens et la milice locale, un échec horrible. Pourtant, son essai est bien connu comme un moment critique, un détonateur de la guerre de Sécession. Brown était pendu après avoir été convaincu de trahison.  

Comme cette ville est idéalement placée à côté de la grande voie ferrée et située juste au nord de la Vallée de Shenandoah en Virginie, les deux troupes l’ont pris comme une base. En fait, entre 1831 et 1865, elle a changé de main 8 fois. Après la guerre, l’armée américaine n’a jamais renouvelé son contrat de produire des armes à Harpers Ferry.

En 1944, Harpers Ferry est devenu un parc national. En résultat, la ville compte maintenant moins de 300 habitants. Pendant la première partie de la 21me siècle, beaucoup de Washingtoniens sont venus de la capitale pour prendre leurs vacances à Harpers Ferry. C’est exactement pour cette raison que nous y sommes venues. Pour découvrir la beauté de ses montagnes, de ses deux rivières, et de son histoire.  


Maison privée
Vue de la "Roche de Jefferson"
Roche de Jefferson

Ruines d'une église détruite pendant la guerre de Sécession
En ville



Rouillé
Coucou Mr. Soleil!

Habillé comme chevalier, pourquoi pas?
Confluence de la Potomac et de la Shennandoah
Voie élevé


A venir : la Vallée de Shenandoah et son grand parc

Gros bisous,
La petite pamplemousse

27.10.13

Sacré Septembre


On est déjà presque fin octobre? Je ne le crois pas! De toute façon, j'ai fait plein de choses pour commencer cette belle saison d'automne.

Le premier weekend du septembre, je suis allée à la plage pour la fête du travail. Malheuresement, j'ai dû travailler, mais j'ai eu la chance de profiter une dernière fois du soleil, de la chaleur de l'été, et des fruits de mer bien frais.

Le weekend prochain, je suis allée au festival du vin en Virginie. (Je ferai tout pour essayer du nouveau vin.) Il faisait beau, il y avait un petit vent, et il y avait beaucoup du vin! On y est resté toute la journée et on n'a même pas gouté la moitié du vin en vente...j'ai tout de suite compris pourquoi le festival déroule pendant 2 jours. 

Un vignoble avait 26 vins à gouter. J'avoue que la plupart de ses vins était dégoutant…vin à la cerise, vin à la fraise, vin à l'ananas, etc. Il y avait beaucoup de filles qui aimaient ça, mais à mon avis, ce varié du vin est trop sucrée et trop modifiée. 

Après quelques dégustations, j'ai noté qu'au sujet du vin rouge, la plupart des vignobles font que du Cabernet Sauvignon ou Cabernet Franc. En outre, il y avait plus du vin blanc que du vin rouge. Même avec le vin blanc, il manquait quelque chose. Soudain, j'ai compris qu'il n'y a pas du chêne dans le procès. Résultat: Il y a un certain manque du gout et du corps. Apres cette réalisation, j'ai demandé à chaque vendeur comment ils font...je me souviens que la plupart a répondu qu'ils laissent le vin veiller en acier inoxydable!

J'ai bien bu, mais bon, ce n'était pas comme le grand festival à Lyon. J'ai quand même acheté 6 bouteilles, 3 de Barboursville, 3 de Horton

Festival du vin en Virginie
Le weekend d'après je suis allée à Six Flags, le grand parc d'amusement. Il y avait une sortie avec mon boulot et on avait tout le parc le vendredi soir. J'ai fait chaque manège plusieurs fois. C'était le top du top! Je me sentais comme j'avais encore 6 ans. Il y avait un manège qui s'appelle Superman où tu es allongé. Puis, quand tu arrives au sommet, tout est renversé. C'est comme tu voles! Comment la coeur a battu!

Samedi soir, avec ma nouvelle colocataire, on est allée à Virgin Mobile Freefest. Le concert s'est passé à Columbia, Maryland où il y a un grand parc avec trois stages. Le problème? Il pleuvait toute la journée/nuit. Plutôt festival de la boue, je dirai. Tout le monde était bourré et en train de se tombait. Heureusement, on n'est pas tombé une seule fois. J'ai vu MGMT, Robin Thicke, The Avett Brothers, Pretty Lights, et Vampire Weekend. On était toute mouillée mais ça se faisait du bien d'aller entendre plein de musiciens dans une seule nuit! En plus, le concert était gratuit! Gagné!

Pretty Lights au "Freefest"

Le dernier weekend du septembre, je suis allée encore au événement du vin qui s'appelait Wine Riot! Par contre, cette fois l'endroit était plus petit et concentré. Apparemment, les vignobles vont partout aux États-Unis, une sorte de festival internant. J'ai parlé avec quelques vendeurs pour mieux comprendre le procès aux États-Unis…comment importer le vin d'ailleurs, comment avoir la licence de vendeur, comment les tarifs sont diffèrent selon l'état, etc. J'avoue que j'aimerais bien faire ça comme boulot.

J'ai rien acheté cette fois, mais j'ai noté le nom de deux vendeurs pour rechercher plus tard. Un à importer ses vins de l'Afrique du Sud. L'autre se trouve près du lac “du doigt” au New York. Après, on est mangé à la Brasserie Beck. J'ai commandé un steak-frites. Grace à mes années à Lyon, capitale de la bouffe française, je sais comment commander un bon steak. Plus du steak bien cuit pour moi!

Après, on est allée à la Nuit Blanche à Shaw, un endroit près de l'université Howard (historiquement pour les étudiants blacks). Il y avait trois étages d'artistes, DJs, et œuvres. J'ai trop aimé cette artiste du graffiti. Tout cela m'a inspiré à recommencer à peindre.


Artiste à la "Nuit Blanche"

Trop beau les drapeaux!
Salle de "Wine Riot" 
J'adore! Ce panneau m'a fait pensé à mon "Pépé Brouillette"

Dimanche, je suis allée au festival du livre au National Mall. J'ai entendu la grande écrivaine Joyce Carole Oates parler de son procès d'écrire, son nouveau livre, et ses inspirations. J'ai acheté deux livres, Midnight in Mexico et And The Mountains Echoed. J'ai pensé à attendre pour avoir mon livre signée par les auteurs, mais la queue pour Khaled Hosseini avait déjà 7 rangs. 


Festival du livres 2013
Joyce Carole Oates

Voilà, en bref, ce que j'ai fait ce dernier mois! Si vous souhaitez voir un quartier particulier ou que je vous faire découvrir un sujet américain qui n'est pas forcement rapporté en France, laissez-moi un commentaire.

Je pense à consolider tous mes photos, projets, et pensées sur un nouveau site web, mais pour l'instant n'hésitez pas de me suivre sur Instagram pour regarder quels plats je cuisine en ce moment! 

A plus dans le bus!

La petite pamplemousse

15.10.13

The (Jealous, Self-Conscious, Over-Thinking) Interestings

I still equate the return of chilly weather and the scent of bonfires with a new (school) year. The fact that I'm not going to class (as either a teacher or a student), has brought a mini-depression, if I must admit it. Just think for a minute. If you're fortunate enough to go to grade school, secondary school, and then, college, you've spent approximately 18 years adjusting to the routine, the carefully planed and themed lessons, the week-long breaks in late December and early spring, and the constant absorption of names, dates, equations, theories, and "facts." While in school, you're constantly reminded that you're preparing yourself for growing up, for living in the real world, for getting a real job and paying your bills on time; but, you never learn any of this from your homework, pop quizzes, or final exams. You never are told how an ordinary day only becomes what you make of it. You are instead told to follow the rules, connect the dots, and be on time or else your grade will drop or you'll get a detention slip. There are no specific tests or homework assignments on how to treat others, how to know the difference between what you're good at and what you should be doing, how to go from being entirely dependent on your parents to not at all, how to live your life without following others, how to control your jealousy, how to build self-confidence, or how to just be "yourself."

You grasp these concepts and understandings through time, experience, repeating mistakes over and over again, reading (a lot) of physical books, going to unfamiliar places without breaking out the GPS or map, and spending time alone (especially after spending an afternoon surrounded by friends, family, or peers). Why then, do I crave the classroom more now than ever before? Furthermore, do you? Could you care less? Do you recognize this feeling I'm attempting to describe or did you shout "Hallelujah!" upon receiving your diploma?

I recently finished the latest novel by Meg Wolitzer. I bookmarked one of those "Books to Read This Fall" lists, added The Interestings to my requested library holds, and finished its 480 pages four days later. I'm terrible at accidentally giving away the ending to anything, so I'll try to be as vague as possible. Essentially, Wolitzer explores Jules Jacobson's life, starting with those awkward, yet exciting teenage years. Throughout each chapter of Jules' life, Wolitzer fleshes out the ebb and flow of jealousy (rooted in each and every friendship), the feeling of insecurity that never seems to leave (no matter one's age), and the distinct, yet, often overlooked difference between nostalgia and reality. I can't attest to what's written about married life (with or without children), but I can affirm that Wolitzer pens the twentysomething years as a perfect mixture of confusion, transformation, and dedication.


When I was fourteen, I was given a journal. The cover is a shimmery gold with three, black Chinese characters; when read together, they translate to "Imagination." I decided this would be a different journal. I started writing down famous quotations, browsing the Internet for as long as I could before getting disconnected by an incoming phone call. Thoughts from Helen Keller and Benjamin Franklin fill the first few pages. I slowly moved away from stalking the unending pages of quotation websites and started to write down sections of books or poems that stuck with me, hit me in the gut, made me cry, made me laugh, made me stop in my tracks and reread a second, or even third time. Last night, I broke out my black pen for the first time in months, and added the following quotations from Wolitzer's book (in cursive, if you must know).

"This was a time of life, she understood, in which you might not know what you were, but that was all right. (...) The time period between the ages of, roughly 20 & 30, was often amazingly fertile. Great work might get done during this ten-year slice of time. Just out of college, they were gearing up, ambitious, not in a calculating way, but simply eager, not yet tired" (59).

This paragraph, if we're talking baseball, is a grand slam. It explores a trio of thoughts one must possess in order to pass the twentysomethings course in life (or so I believe after living through the first five years). First, you know and accept the fact that you don't know who you are or what you're doing. Second, you are still growing. (Well, mentally... Physically, I stopped growing at 16). Third, you are excited and ready (in your mind) for what's to come.

"Instead, it took nearly two months, a period during which they each performed their separate life tasks in seeming preparation for nothing, but which turned out to be preparation for so much" (70).

I keep telling myself that the past year and a half is leading me somewhere, preparing me for a huge life moment or a place I don't know even exists yet, but will. As much as I rant to peers and friends, I'd like to highlight the fact that you should always appreciate the mundane lifestyle while you have it.

"And Yvonne said, 'We are all here on this earth for only one go around. And everyone thinks their purpose is to find their passion. But perhaps our purpose is also to find out what other people need" (220).

Yvonne's words sting, but Jules needed to hear them to take the leap out of acting and into psychology. Sometimes interests and hobbies don't turn into anything more than just that. I've already figured that out with belly dancing. Now, the hard part, is figuring out what people need from me.

"Everyone tended to believe everything was their fault;' maybe it was just hard to imagine, when you were still fairly young, that there were some things in the world that were not just about you" (275).

I still have not learned to only say "I'm sorry" when the result of an action is entirely my fault. I'm working on it (and trying to remember it's not about me!)

"Manny shook his head and said, 'Oh, come on. You're telling me that because of the Internet, and the availability of everyone, every whim, every tool, suddenly everyone's an artist? But here's the thing; If everyone's an artist, then none is' " (380).

Amen, Manny, A-holy of holiest-men.

If you find yourself doubting your life, your interests, your relationships, you mistakes and your successes, I strongly encourage you to pick up a copy of The Interestings. My ambition battery is recharged and ready to go as a result of following Jules through life. For an extra bonus, or in case you simply want musical inspiration as well, check out this lovely artist, Jessie Ware.

Out and over to ponder life a bit longer over a cup of Moroccan mint tea,

La petite pamplemousse

1.10.13

Fair & Lovely: What's in a Color?


Roughly two weeks ago, Nina Davuluri, Miss New York, won the 87th Miss America competition. If you didn't watch it live, you had to have heard about the ridiculous outcry on Twitter. Buzzfeed does a wonderful job highlighting some of the most colorful tweets that surfaced right after the announcement. Reading through some of these, I was shocked, disgusted, and embarrassed. Are people really that ignorant to make such commentary? Or, do they just want to be the first to start a new wave of rant tweets in hopes of gaining new followers on this social media platform? Do they refuse to open themselves up to the people around them? Or, is the harsh reality of our country's divided history so deeply branded into our (thick) skulls that we will never succeed in our battle against racial and religious stereotypes? Or further, are there simply too many people with an excessive amount of free time on their hands that they decide to start petty fights behind their mobile phones, computers, and tablets just to see what happens?*

As a kid, did you ever focus on or care about the color of the people around you? So, why and when exactly do people become so obsessed with skin color? More importantly, will we ever move away from this obsession or is it ultimately a pre-written key player, a state of mind passed down from generation to generation, in each and every history chapter, past, present, and future?

The past few weeks I've been concentrating my personal reading on race relations in the news. After Duvulari was crowned, I thought back to my undergraduate degree, where I focused on South Asian literature. I remember learning about the caste system and how it still exists in today's (modern - well, maybe in terms of technology) world. I discovered interesting skin creams, like Fair & Lovely, which claim to whiten a woman, even down there. Crazy, right? In the same article, one interviewee connected the hype of being lighter skinned back to British rule, when donning parasols and staying indoors was considered "la mode." Others blamed the obsession on the invasion of American retail lines.

Ironically, I find that here in the USA, TV series like Jersey Shore and Real Housewives, promote more and more white Americans to become obsessed with obtaining the perfect tan, rather than embracing their color as well. Why can't we all embrace our differences and learn to be comfortable in our own skin?

I guess, all I really want to know is, where did all the good, accepting, open-minded people go?

La petite pamplemousse

**If you aren't already a fan of Stromae, I highly suggest going on Spotify to listen to his latest song, a modern remix of the infamous Carmen. Les paroles sont ici and decent English translations are available if you can't read the French.

18.9.13

Errer à Woodstock, Ville Des Hippies


Il y a un mois que je suis allée à Woodstock, NY, ville de la paix, de l'amour, et des hippies. L'année dernière, ma tante Mari est partie de Wilmington, Delaware pour vivre à Woodstock. Son copain a grandi près de Woodstock et ils sont partis souvent en hiver pour skier dans les Catskills.

Vendredi après-midi, je suis partie de Washington, D.C., (direction Philadelphie) pour joindre une autre tante, Patti. Là, on a fait une petite pause à Wawa (genre station-service du nord-est –la meilleure!) et puis allez, hop, on y go! En total, j'ai passé 8 heures dans la voiture. Ooof !

Nous sommes arrivées chez ma tante à minuit. Comme il faisait froid déjà dans les montagnes! Nous avons bu un petit verre dessus des étoiles avant de se coucher (et comment nous avons très bien dormi ce soir-là).

Le lendemain, nous avons pris le temps de se réveiller, de boire un grand café, et de découvrir la maison et le jardin en plein soleil. Ma tante Mari a dû travailler la plupart de la journée, donc elle nous a laissé toute seule. (Elle a récemment ouvert son nouveau magasin, Evolve Design Gallery.)

C’était clair que nous étions deux citadines dans la compagne. Déjà, nous avions du mal à trouver la ville et à cause de moi, nous sommes descendues la montagne avant de comprendre que nous n’avions pas la bonne route. Une demi-heure plus tard, nous avons trouvé Woodstock et nous avons arrêté pour faire un petit tour de la salle d'exposition d’Evolve. J’espère bien que ma tante aura des grandes clientes. Le bruit court que David Bowie va bientôt commencer du travail sur sa maison. Il avait 10 ans qu’il a acheté terre mais comme tout le monde a chassé la rumeur et est venu à Woodstock pour voir, il attendait pour commencer à faire des travaux. Nous espérons qu’il viendra chez Evolve. Ça sera trop cool de dire que tu gère le renouvellement de la maison de Davide Bowie...

Après notre tour, ma tante Patti et moi, nous sommes allées nous balader au centre-ville pour faire un peu du shopping. Partout à Woodstock, vous trouverez des guitares. Devant chaque magasin, chaque restaurant, chaque petite église, il y a une guitare décorée. Par exemple, un des magasins vend que des bougies. Devant ce magasin, il y a une guitare décorée avec des bougies fondues. Au centre de ce magasin, ils ont aussi la plus grande bougie du monde (à ce qu’ils prétendent.) Ils l'ont fait en faire fondre une petite bougie chaque jour. 

Comme nous n'avons pas mangé le petit déjeuner, nous avions trop faim. Nous avons choisi de déjeuner chez Oriole 9. Chez Oriole 9, il y a un grand tableau a l’entrée. Là, vous pouvez écrire ce que vous espérez faire avant de mourir. Qu’est-ce que j’ai écrit ? Danser en Égypte et voyager tous les continents du monde ! Les autres rêves ont inclut se marier, faire des enfants, et faire un « road trip ». 

J’ai commandé une limonade (à la américaine, pas comme vous avez en France, berk !), et un sandwich BLT (bacon, salade, tomate) au poulet. Ma tante a commandé un sandwich à l’agneau marocain. Nous avons trop aimé tous que nous avons commandé que nous y sommes revenues encore le dimanche après-midi et le lundi matin. Malheureusement, je n’ai pas pris des photos (car j’ai mangé trop vite ….et si vous me connaissez bien, je prends mes temps à manger). Oriole 9 est très connu par des stars et mondains de NYC. On avait l'impression que la dame à côté de nous était un des deux, car elle a mis des lunettes de soleil, un chapeau, et un écart en partant du restaurant avec son bébé et sa maman. À l'autre côté de notre table, il y avait un trio, tous en noir. Ils ont tous sortis des iPads. Ma tante a fait des remarques qu'ils nous regardent bizarrement. J'étais mort de rire car c'étaient eux qui ne semblent pas à leur place avec tous les familles et gens « baba cool ». 

Le dimanche, nous sommes retournées en ville pour la promenade de paix et de l’unité de l’humanité. Il y avait une tribu des indiens qui est venue du Canada. Ces indiens ont voyagé par chevaux et par canoës. Ils sont allées jusqu’à Washington, DC comme ça! Une petite tribu, mais très grand comme idée (particulièrement dans ces temps de violence du fusil dans mon pays). Il y avait un monsieur qui a fait une prière, puis tout le monde a recommencé à chanter des chansons de la paix. Mes tantes et moi ont toutes des larmes aux yeux. Trop beau comme message. Après, nous avons mangé une glace bio et nous sommes parties pour voir le réservoir d’Ashokan avant que la tempête arrive. Une demi-heure après, il faisait beau. Quels temps bizarres dans ces montagnes de New York. Nous sommes retournées en ville pour une dernière fois pour joindre le cercle de batteries. Là, nous avions de la chance de rencontrer Papi et Mamie Woodstock (deux hippies qui ont resté après le grand festival de 1969).


Une des guitares


La plus grande bougie du monde

Bouddha


Ils sont venus par chevaux depuis le Canada.
Réservoir d'Ashokan
Circle de la batterie
Papi Woodstock
Magasin de tous qui est "tie-dye"

J’adore Washington, D.C., mais j’aime bien partir me perdre dans la nature de temps en temps. C’était pareil à Lyon. J’ai trop adoré la ville, mais j’ai attendu avec hâte mon weekend à la Clusaz entre amis! Bref, ma tante Marie et moi, nous sommes allées fait de la randonnée dans les montagnes chaque matin. Dimanche matin, le chemin a commencé à Byrdcliffe. Byrdcliffe est un grand centre d’art. Les artistes doivent envoyer leur CVs pour être accepter dans le programme et pour vivre là-bas pendant été. Très isolé et très tranquille comme espace du travail ! Pas du wifi, c’est sûr ! En haut de cette montagne, nous avons pu voir Woodstock, le réservoir, l’église, et les autres sommets de Catskills. Lundi matin, nous sommes parties derrière la maison de la voisine de ma tante (qui est une sculptrice très connue). Ce chemin était plus facile mais j’ai quand même transpiré ! Cette voisine a 74 ans mais elle fait de la randonnée trois fois par semaine. Imaginez une dame en shorts et un t-shirt hawaiienne avec du rouge à lèvres. Elle m'a conseillé (avec son accent de New Orleans) de faire un peu plus du sport quand nous avons commencé. J’avoue, il faut que je fasse plus du sport chaque semaine…c’est vrai que cette dame était la première en haut du sommet.

On a trouvé plein de petits champignons dans tous les couleurs le lundi. Ma tante a voulu trouvé une espèce particulaire qui est vendu à 9 dollars le kilo qu'elle a vu au supermarché mais, nous n’avons pas du suces. Par contre, en retournant chez ma tante, nous avons découvert un arbre à griffes et aussi un ancien mur fait par des fermiers suédois qui ont venu ici dans le 18 e siècle. 

Tous les soirs, nous avons grillés des steaks et des légumes (salade, tomates, betteraves, poivres, etc.) du jardin de ma tante. Nous avons bu des mojitos fraiches, bavardé, et regardé les étoiles. Dimanche soir, nous avons vu plein d’étoiles filantes. Nous avons même entendu des coyotes du loin. Nous étions heureuse être ensemble après presque 3 ans. C'était un super weekend entre mes tantes et j’ai trop hâte d’y retourner pour skiera.

Jardin chez ma tante
Famille de cerf
Roches
Mur fait par les Suedois









Arbre griffé

Ma tante Mari et moi en haut du sommet




Trop bien cette autocollant

Comme vous voyez, Woodstock est sûrement une ville très belle, tranquille, et calme et je vous conseille de la découvrir avant de mourir !

Je vous souhaite de la paix et de l’amour !

A plus dans le hippie bus,
La petite pamplemousse